Dans les années 1980, j’ai suivi des formations au graphisme (Bac graphisme à l’école Duperré – Paris) et au design industriel (BTS école Olivier de Serres – Paris).
Au cours de ma carrière dans différentes agences et en free-lance, peu de clients intégraient une dimension de responsabilité écologique ou sociale.
Les domaines d’action variés l’auraient pourtant souvent mérité : mobilier urbain et de l’environnement, agencement, stands, scénographie-expositions, produits électroménager, PLV de luxe orientés cosmétiques, conception produits en matières plastiques, signalétique, identité visuelle, enseignes, véhicules et vêtements professionnels, supports de communication, édition, signalétique, infographie en impressions moyens et grands formats.
Cette sensibilité reste due à mon éducation et aux environnements de jeux préférés, parcs et jardins, environnement marin … et passe-temps hérités de mon père, récupération, bricolage, brocante …
... la richesse des expériences
Qu’elles soient bonnes ou mauvaises, abouties ou non, toute expérience de vie doit être acceptée et vécue comme un enrichissement, un bagage, un outil. Délibérée ou non, chaque situation, évènement, épreuve, nous construisent et c’est à nous d’en tirer leçon, de choisir le cap qui correspond à notre sensibilité.
Projets à sensibilité écologiques
Au sein de l’agence de Takao Hiraï, designer, et en compagnie de Benoit Coquard, architecte, j’ai eu la chance de participer à la conception de la Maison de l’air, pour la Direction des Espaces Verts de la Ville de Paris. Situé sur les hauteurs du parc de Belleville, le pavillon devient en 1994 la Maison de l’air, lieu d’activités pédagogiques sur l’air de Paris. On y traitait de l’élément air, ses phénomènes, ses habitants, le climat, la pollution…
Ces activités ont cessées en 2013. La Maison de l’air est aujourd’hui un centre socioculturel géré par Archipélia (voir historique).
Ce fut une expérience riche de sens et je remercie Takao et Benoit de m’y avoir donner ma place de designer assistant.








